Sculpture en bronze à patine brune d’Emiel De Block – Torse de femme

Sculpture originale d’Emiel De Block – Torse de femme

Bronze cire perdue avec une patine brune signé et numéroté et porte également le cachet du fondeur. Un d’une édition de 8 sculptures signées et numérotées.

Fonderie: De Groeve, Merelbeke, Belgique

Dimensions: 75 x 32 x 30 cm – 29,5 x 12,6 x 11,8 po.

Prix: *$ CAD (Dollar Canadien) Pour plus d’informations sur l’artiste, les oeuvres, l’expédition ou autres détails communiquez avec la galerie

Emiel DE BLOCK (1941)

Emiel De Block est né à Berlare le 17 février 1941. Il est un sculpteur belge qui travaille à la fois le figuratif et abstrait.

Il obtient son diplôme de sculpture à l’Académie de Gand en 1971. En 1975, il obtient à nouveau la médaille du gouvernement, cette fois pour la sculpture, tandis qu’en 1965 il gagne la médaille du gouvernement et prix pour le modelage. En 1977 il reçoit une bourse du Ministère de la Culture et en 1978 il devient lauréat du Prix Culturel S. De Lathauwer de sculpture. L’année suivante, il remporte le deuxième prix du concours Hommage à Jacob Jordaens à Anvers et du concours de sculpture Belgica 150. Il a également été sélectionné pour la 15ème Exposition Internationale de Sculpture Fondazione Pagani, Legnano, Milan. La même année, il remporte le Concours National de Sculpture August Vermeylen à Ostende.

Les œuvres du sculpteur ont été achetées à la fois par le ministère de la Communauté flamande et par la province de Flandre orientale. Des œuvres de De Block peuvent également être trouvées dans des collections d’art en Suisse et à l’étranger.

Dans le monde des images de la nature d’Emiel De Block, la figure féminine prédomine. Ce sculpteur veut recréer les formes féminines à travers une subtile abstraction dans des formes en beauté.

 La particularité est qu’il fait abstraction sans tomber dans l’abstraction, sauf exception, qu’il vit alors comme un jeu passionnant. Il libère les formes de leur apparence existentielle pour les recréer dans une existence complètement nouvelle, réduisant la nature à des valeurs purement sculpturales. Souvent les images dégagent une sensibilité intime, pour ne pas dire de la tendresse. Il est également typique que le sculpteur expérimente très profondément l’affinité des différents arts. Dans la musique et la poésie, il découvre des similitudes avec son travail. Si dans ses œuvres figuratives la sculpture est devenue une musique devenue silence et la musique une sculpture devenue mélodieuse, alors dans ses œuvres plus abstraites, c’est l’affinité avec la poésie qui prime. Ce dernier est particulièrement visible dans les œuvres principalement en colonnes qui ont été réalisées pour l’exposition « Le langage de la pierre, silence du papier » où les images sont liées au contenu des poèmes étaient matériellement liés aux sculptures, car le poète a gravé son œuvre sous forme plastique.

Sources: Archives Ysebaert Louisseize Arts #Curateurs et Wikipédia