Gravure de cuivre sur papier de Claude Weisbuch Titrée: La clef de la ville,1981

Estampe d’art originale d’une édition limitée de Claude Weisbuch. De la série appelée Le grand Siècle – Le numéro II titrée La clef de la ville – Le siècle des armes, créée en 1981

Gravure de cuivre sur papier Moulin du Gué signée au crayon par l’artiste dans le bas à droite et numérotée dans le bas à gauche. Un d’une édition de 200 gravures signées et numérotées.

L’œuvre est encadre

Dimensions : Papier : 37,5 x 50 cm – Image : 28 x 37,5 cm – Avec cadre : 56 x 65 cm.

Prix: *$ CAD (Dollars Canadiens) Pour plus d’information sur l’oeuvre, l’artiste ou l’expédition et le prix communiquez avec la galerie.

Claude WEISBUCH (1927 – 2014)

Claude Weisbuch, né le 8 février 1927 à Thionville et mort le 13 avril 2014 à Paris, il est un peintre, dessinateur et graveur français.

Claude Weisbuch est élève de Camille Hilaire et d’André Vahl à l’École nationale supérieure d’art de Nancy. Il est ensuite nommé professeur de gravure à l’école des Beaux-arts de Saint-Étienne.

En 1968, il devient membre titulaire de la Société des peintres et graveurs français.

Son œuvre est essentiellement consacré à la gravure, par laquelle il aime à traduire, grâce au trait, la vie, le mouvement et le caractère de ses personnages : polichinelles, arlequins, musiciens ou scènes équestres. Ses thèmes qu’il affectionne : le théâtre, l’opéra, le milieu équestre, les musiciens, les joueurs de carte, les danseurs de kabuki ainsi que de nombreux portraits.

L’homme apparaît comme un thème obsessionnel dans l’œuvre de Weisbuch, soit qu’il s’efforce de le capter dans le miroir en contemplant sa propre image, soit qu’il le surprenne dans les traits de ses visiteurs, soit encore qu’il tente de le déchiffrer chez les maîtres d’autrefois qu’il vénère, Jacques Callot, Rembrandt ou Honoré Daumier.

S’il pratique diverses techniques (lithographie, pointe sèche, etc.) qu’il met au service de l’illustration de livres de bibliophilie, il est aussi peintre et dessinateur. Ses couleurs privilégiées sont les ocres, les bruns et les blancs, avec lesquels il cherche à introduire les effets de lumière par des compositions où le trait et la finesse du dessin conservent la vie que l’on trouve dans ses gravures.

Son trait précis et dynamique livre une œuvre tout en mouvement et tourbillonnante. Ses œuvres ont l’aspect de croquis inachevés, mêlant peu de couleurs mais d’une grande vivacité du trait.