André Brasilier, né le 29 octobre 1929 à Saumur dans le département de Maine-et-Loire, est un peintre, aquarelliste, lithographe et céramiste français.
André Brasilier naît de parents artistes peintres. Son père Jacques Brasilier est un peintre symboliste, proche des Nabis.
Il entre aux Beaux-Arts de Paris en 1949, dans l’atelier de Maurice Brianchon. En 1949 il obtient le Prix Florence Blumenthal en 1952 et le premier grand Prix de Rome de peinture. Il réside à Rome à la Villa Médicis de 1954 à 1957.
Recherchant l’harmonie entre la construction plastique et l’émotion, s’inspirant de la vie, il se définit comme un peintre « transfiguratif » : selon lui, la peinture est avant tout transfiguration du réel et du non réalisme.
Les toiles surréalistes enrobées de rêveries d’André Brasilier ont grand succès aux niveaux internationaux depuis des décennies. À partir des mouvements d’art européens modernes et des estampes japonais, Brasilier a construit son style unique et attrayant. Souvent inspiré par la musique, Brasilier utilise la couleur pour créer une harmonie sur la toile. Les paysages surréalistes évoquent un endroit paisible et rêveur, loin des problèmes banals de la vie quotidienne.
Quand il revint à Paris, il expose dans les grandes expositions de groupe tout au long des années 1950 et 60. Il a également eu plusieurs expositions indépendantes dans des galeries remarquables en France et à David B. Findlay Gallery à New York. Brasilier continue d’avoir une carrière artistique très réussie avec des collectionneurs actifs en Amérique, en Europe et au Japon.
Lorsqu’on lui a demandé pourquoi son travail est particulièrement attrayant pour un public japonais, le Brésilien a noté sa préférence pour la simplicité et son attention à la composition.
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