Armand Silvestre est né à Liège en 1921 et mort le 28 octobre 2007 à Liège.
Armand avait suivi des cours à l’académie des Beaux-Arts. Il a eu comme professeurs, Georges Petit et ensuite, Marceau Gillard.
Ses premières œuvres sur papier, il les réalise à la fin de la seconde guerre. Les années 40 sont d’abord influencé par les natures mortes post-cubistes de George Braque et les peintures figuratives cubiste du peintre liégeois Edgar Scauflaire qui à son tour influences par l’expressionnisme onirique, que Armand Silvestre va mettre à sa main et crée un sorte de style qui s’oriente vers le métaphasique de Giorgio De Chirico mais avec une géométrisation des formes au milieu des années 50 et finalement vers la fin 50 début 60 vers l’abstraction lyrique avec taches et nuages zen proche de Hartung.
Armand Silvestre a des affinités avec l’Apiaw, (association pour le progrès artistique en Wallonie), mais Silvestre ne fait partie d’aucun cercle sensu stricto. Comme Jo Delahaut, Jean Rets, José Picon, il est de ces peintres discrets qui ont construit l’histoire de l’art abstrait * (Extraits d’un texte d’Alain Delaunois) en douceur et dans l’intimité de leurs ateliers.
Plus tard, il va renouer et commencer une période avec le figurative qui s’oriente vers le post- impressionnisme, avec des scènes de ville, des parcs et des étangs, attiré par Liège et Paris qui deviendrons ses sujets préférer en parallèle d’une carrière de photographe.
L’œuvre d’Armand Silvestre est éclectique et ses influences intercède avec ses styles, … au fait il y a pas une véritable logique et révèle successivement ces diverses contaminations pour lequel il s’intéresse dans son corpus d’œuvres allant de l’art de la Renaissance, l’impressionnisme, le cubisme, l’art abstrait…et mêmes la peinture chinoise.
Extraits d’un texte d’Alain Delaunois. Autre source Blog: Christian Vancau et Yoannick Ysebaert
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